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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Première lecture : « Cet homme est l’instrument que j’ai choisi pour faire parvenir mon nom auprès des nations » (Ac 9, 1-20)

    19 avril

    Lecture du livre des Actes des Apôtres

    En ces jours-là,
    Saul était toujours animé d’une rage meurtrière
    contre les disciples du Seigneur.
    Il alla trouver le grand prêtre
    et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas,
    afin que, s’il trouvait des hommes et des femmes
    qui suivaient le Chemin du Seigneur,
    il les amène enchaînés à Jérusalem.
    Comme il était en route et approchait de Damas,
    soudain une lumière venant du ciel l’enveloppa de sa clarté.
    Il fut précipité à terre ; il entendit une voix qui lui disait :
    « Saul, Saul,
    pourquoi me persécuter ? »
    Il demanda :
    « Qui es-tu, Seigneur ? »
    La voix répondit :
    « Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
    Relève-toi et entre dans la ville :
    on te dira ce que tu dois faire. »
    Ses compagnons de route s’étaient arrêtés,
    muets de stupeur :
    ils entendaient la voix,
    mais ils ne voyaient personne.
    Saul se releva de terre
    et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien.
    Ils le prirent par la main
    pour le faire entrer à Damas.
    Pendant trois jours, il fut privé de la vue
    et il resta sans manger ni boire.
    Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananie.
    Dans une vision, le Seigneur lui dit :
    « Ananie ! »
    Il répondit :
    « Me voici, Seigneur. »
    Le Seigneur reprit :
    « Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude :
    tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul.
    Il est en prière, et il a eu cette vision :
    un homme, du nom d’Ananie,
    entrait et lui imposait les mains
    pour lui rendre la vue. »
    Ananie répondit :
    « Seigneur, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme,
    et de tout le mal qu’il a fait subir à tes fidèles à Jérusalem.
    Il est ici, après avoir reçu de la part des grands prêtres
    le pouvoir d’enchaîner tous ceux qui invoquent ton nom. »
    Mais le Seigneur lui dit :
    « Va ! car cet homme est l’instrument que j’ai choisi
    pour faire parvenir mon nom
    auprès des nations, des rois et des fils d’Israël.
    Et moi, je lui montrerai
    tout ce qu’il lui faudra souffrir pour mon nom. »
    Ananie partit donc
    et entra dans la maison.
    Il imposa les mains à Saul, en disant :
    « Saul, mon frère,
    celui qui m’a envoyé, c’est le Seigneur,
    c’est Jésus qui t’est apparu
    sur le chemin par lequel tu venais.
    Ainsi, tu vas retrouver la vue,
    et tu seras rempli d’Esprit Saint. »
    Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles,
    et il retrouva la vue.
    Il se leva, puis il fut baptisé.
    Alors il prit de la nourriture et les forces lui revinrent.
    Il passa quelques jours à Damas avec les disciples
    et, sans plus attendre, il proclamait Jésus dans les synagogues,
    affirmant que celui-ci est le Fils de Dieu.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (116 (117), 1, 2)

    19 avril

    Refrain psalmique : (Mc 16, 15)

    Allez dans le monde entier.
    Proclamez l’Évangile.
    ou : Alléluia !

    Louez le Seigneur, tous les peuples ;
    fêtez-le, tous les pays !

    Son amour envers nous s’est montré le plus fort ;
    éternelle est la fidélité du Seigneur !

  • Évangile : « Ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson » (Jn 6, 52-59)

    19 avril

    Acclamation : (Jn 6, 56)

    Alléluia. Alléluia.
    Qui mange ma chair et boit mon sang
    demeure en moi, et moi en lui, dit le Seigneur.
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    les Juifs se querellaient entre eux :
    « Comment celui-là
    peut-il nous donner sa chair à manger ? »
    Jésus leur dit alors :
    « Amen, amen, je vous le dis :
    si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
    et si vous ne buvez pas son sang,
    vous n’avez pas la vie en vous.
    Celui qui mange ma chair et boit mon sang
    a la vie éternelle ;
    et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
    En effet, ma chair est la vraie nourriture,
    et mon sang est la vraie boisson.
    Celui qui mange ma chair et boit mon sang
    demeure en moi,
    et moi, je demeure en lui.
    De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé,
    et que moi je vis par le Père,
    de même celui qui me mange,
    lui aussi vivra par moi.
    Tel est le pain qui est descendu du ciel :
    il n’est pas comme celui que les pères ont mangé.
    Eux, ils sont morts ;
    celui qui mange ce pain
    vivra éternellement. »

    Voilà ce que Jésus a dit
    alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Voici de l’eau : qu’est- ce qui empêche que je sois baptisé ? » (Ac 8, 26-40)

    18 avril

    Lecture du livre des Actes des Apôtres

    En ces jours-là,
    l’ange du Seigneur adressa la parole à Philippe en disant :
    « Mets-toi en marche en direction du sud,
    prends la route qui descend de Jérusalem à Gaza ;
    elle est déserte. »
    Et Philippe se mit en marche.
    Or, un Éthiopien, un eunuque,
    haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie,
    et administrateur de tous ses trésors,
    était venu à Jérusalem pour adorer.
    Il en revenait, assis sur son char,
    et lisait le prophète Isaïe.
    L’Esprit dit à Philippe :
    « Approche, et rejoins ce char. »
    Philippe se mit à courir,
    et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ;
    alors il lui demanda :
    « Comprends-tu ce que tu lis ? »
    L’autre lui répondit :
    « Et comment le pourrais-je
    s’il n’y a personne pour me guider ? »
    Il invita donc Philippe à monter et à s’asseoir à côté de lui.
    Le passage de l’Écriture qu’il lisait était celui-ci :
    Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ;
    comme un agneau muet devant le tondeur,
    il n’ouvre pas la bouche.
    Dans son humiliation,
    il n’a pas obtenu justice.
    Sa descendance, qui en parlera ?

    Car sa vie est retranchée de la terre.
    Prenant la parole, l’eunuque dit à Philippe :
    « Dis-moi, je te prie : de qui le prophète parle-t-il ?
    De lui-même, ou bien d’un autre ? »
    Alors Philippe prit la parole
    et, à partir de ce passage de l’Écriture,
    il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.
    Comme ils poursuivaient leur route,
    ils arrivèrent à un point d’eau,
    et l’eunuque dit :
    « Voici de l’eau :
    qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? »
    Il fit arrêter le char,
    ils descendirent dans l’eau tous les deux,
    et Philippe baptisa l’eunuque.
    Quand ils furent remontés de l’eau,
    l’Esprit du Seigneur emporta Philippe ;
    l’eunuque ne le voyait plus,
    mais il poursuivait sa route, tout joyeux.
    Philippe se retrouva dans la ville d’Ashdod,
    il annonçait la Bonne Nouvelle
    dans toutes les villes où il passait
    jusqu’à son arrivée à Césarée.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (65 (66), 8-9, 16-17, 20)

    18 avril

    Refrain psalmique : (65, 1)

    Acclamez Dieu, toute la terre ! ou : Alléluia !

    Peuples, bénissez notre Dieu !
    Faites retentir sa louange,
    car il rend la vie à notre âme,
    il a gardé nos pieds de la chute.

    Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu :
    je vous dirai ce qu’il a fait pour mon âme ;
    quand je poussai vers lui mon cri,
    ma bouche faisait déjà son éloge.

    Béni soit Dieu
    qui n’a pas écarté ma prière,
    ni détourné de moi son amour !

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