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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Évangile : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai » (Jn 2, 13-25)

    3 mars

    Acclamation : (Jn 3, 16)

    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.

    Dieu a tellement aimé le monde
    qu’il a donné son Fils unique,
    afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle.
    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur. 

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    Comme la Pâque juive était proche,
    Jésus monta à Jérusalem.
    Dans le Temple, il trouva installés
    les marchands de bœufs, de brebis et de colombes,
    et les changeurs.
    Il fit un fouet avec des cordes,
    et les chassa tous du Temple,
    ainsi que les brebis et les bœufs ;
    il jeta par terre la monnaie des changeurs,
    renversa leurs comptoirs,
    et dit aux marchands de colombes :
    « Enlevez cela d’ici.
    Cessez de faire de la maison de mon Père
    une maison de commerce. »
    Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit :
    L’amour de ta maison fera mon tourment.
    Des Juifs l’interpellèrent :
    « Quel signe peux-tu
    nous donner
    pour agir ainsi ? »
    Jésus leur répondit :
    « Détruisez ce sanctuaire,
    et en trois jours je le relèverai. »
    Les Juifs lui répliquèrent :
    « Il a fallu quarante-six
    ans pour bâtir ce sanctuaire,
    et toi, en trois jours tu le relèverais ! »
    Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.

    Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts,
    ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ;
    ils crurent à l’Écriture
    et à la parole que Jésus avait dite.
    Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque,
    beaucoup crurent en son nom,
    à la vue des signes qu’il accomplissait.
    Jésus, lui, ne se fiait pas à eux,
    parce qu’il les connaissait tous
    et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ;
    lui-même, en effet, connaissait ce qu’il y a dans l’homme.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Tu jetteras au fond de la mer tous nos péchés ! » (Mi 7, 14-15.18-20)

    2 mars

    Lecture du livre du prophète Michée

    Seigneur, avec ta houlette,
    sois le pasteur de ton peuple,
    du troupeau qui t’appartient,
    qui demeure isolé dans le maquis,
    entouré de vergers.
    Qu’il retrouve son pâturage à Bashane et Galaad,
    comme aux jours d’autrefois !
    Comme aux jours où tu sortis d’Égypte,
    tu lui feras voir des merveilles !

    Qui est Dieu comme toi, pour enlever le crime,
    pour passer sur la révolte
    comme tu le fais à l’égard du reste, ton héritage :
    un Dieu qui ne s’obstine pas pour toujours dans sa colère
    mais se plaît à manifester sa faveur ?
    De nouveau, tu nous montreras ta miséricorde,
    tu fouleras aux pieds nos crimes,
    tu jetteras au fond de la mer tous nos péchés !
    Ainsi tu accordes à Jacob ta fidélité,
    à Abraham ta faveur,
    comme tu l’as juré à nos pères
    depuis les jours d’autrefois.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (102 (103), 1-2, 3-4, 9-10, 11-12)

    2 mars

    Refrain psalmique : (102, 8a)

    Le Seigneur est tendresse et pitié.

    Bénis le Seigneur, ô mon âme,
    bénis son nom très saint, tout mon être !
    Bénis le Seigneur, ô mon âme,
    n’oublie aucun de ses bienfaits !

    Car il pardonne toutes tes offenses
    et te guérit de toute maladie ;
    il réclame ta vie à la tombe
    et te couronne d’amour et de tendresse !

    Il n’est pas pour toujours en procès,
    ne maintient pas sans fin ses reproches ;
    il n’agit pas envers nous selon nos fautes,
    ne nous rend pas selon nos offenses.

    Comme le ciel domine la terre,
    fort est son amour pour qui le craint ;
    aussi loin qu’est l’orient de l’occident,
    il met loin de nous nos péchés.

  • Évangile : « Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie » (Lc 15, 1-3.11-32)

    2 mars

    Acclamation : (Lc 15, 18)

    Ta parole, Seigneur, est vérité,
    et ta loi, délivrance.

    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
    et je lui dirai :
    Père, j'ai péché contre le ciel et envers toi. 
    Ta parole, Seigneur, est vérité,
    et ta loi, délivrance.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    En ce temps-là,
    les publicains et les pécheurs
    venaient tous à Jésus pour l’écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
    « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
    et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Un homme avait deux fils.
    Le plus jeune dit à son père :
    “Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.”
    Et le père leur partagea ses biens.
    Peu de jours après,
    le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait,
    et partit pour un pays lointain
    où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
    Il avait tout dépensé,
    quand une grande famine survint dans ce pays,
    et il commença à se trouver dans le besoin.
    Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays,
    qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
    Il aurait bien voulu se remplir le ventre
    avec les gousses que mangeaient les porcs,
    mais personne ne lui donnait rien.
    Alors il rentra en lui-même et se dit :
    “Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance,
    et moi, ici, je meurs de faim !
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
    et je lui dirai :
    Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
    Traite- moi comme l’un de tes ouvriers.”
    Il se leva et s’en alla vers son père.
    Comme il était encore loin,
    son père l’aperçut et fut saisi de compassion ;
    il courut se jeter à son cou
    et le couvrit de baisers.
    Le fils lui dit :
    “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.”
    Mais le père dit à ses serviteurs :
    “Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller,
    mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
    allez chercher le veau gras, tuez-le,
    mangeons et festoyons,
    car mon fils que voilà était mort,
    et il est revenu à la vie ;
    il était perdu,
    et il est retrouvé.”
    Et ils commencèrent à festoyer.

    Or le fils aîné était aux champs.
    Quand il revint et fut près de la maison,
    il entendit la musique et les danses.
    Appelant un des serviteurs,
    il s’informa de ce qui se passait.
    Celui-ci répondit :
    “Ton frère est arrivé,
    et ton père a tué le veau gras,
    parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.”
    Alors le fils aîné se mit en colère,
    et il refusait d’entrer.
    Son père sortit le supplier.
    Mais il répliqua à son père :
    “Il y a tant d’années que je suis à ton service
    sans avoir jamais transgressé tes ordres,
    et jamais tu ne m’as donné un chevreau
    pour festoyer avec mes amis.
    Mais, quand ton fils que voilà est revenu
    après avoir dévoré ton bien avec des prostituées,
    tu as fait tuer pour lui le veau gras !”
    Le père répondit :
    “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi,
    et tout ce qui est à moi est à toi.
    Il fallait festoyer et se réjouir ;
    car ton frère que voilà était mort,
    et il est revenu à la vie ;
    il était perdu,
    et il est retrouvé !” »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Voici l’expert en songes qui arrive ! Allons-y, tuons-le » (Gn 37, 3-4.12-13a.17b-28)

    1er mars

    Lecture du livre de la Genèse

    Israël, c’est-à-dire Jacob,
    aimait Joseph plus que tous ses autres enfants,
    parce qu’il était le fils de sa vieillesse,
    et il lui fit faire une tunique de grand prix.
    En voyant qu’il leur préférait Joseph,
    ses autres fils se mirent à détester celui-ci,
    et ils ne pouvaient plus lui parler sans hostilité.

    Les frères de Joseph étaient allés à Sichem
    faire paître le troupeau de leur père.
    Israël dit à Joseph :
    « Tes frères ne gardent-ils pas le troupeau à Sichem ?
    Va donc les trouver de ma part ! »
    Joseph les trouva à Dotane.
    Ceux-ci l’aperçurent de loin et, avant qu’il arrive près d’eux,
    ils complotèrent de le faire mourir.
    Ils se dirent l’un à l’autre :
    « Voici l’expert en songes qui arrive !
    C’est le moment, allons-y, tuons-le,
    et jetons-le dans une de ces citernes.
    Nous dirons qu’une bête féroce l’a dévoré,
    et on verra ce que voulaient dire ses songes ! »
    Mais Roubène les entendit, et voulut le sauver de leurs mains.
    Il leur dit :
    « Ne touchons pas à sa vie. »
    Et il ajouta :
    « Ne répandez pas son sang :
    jetez-le dans cette citerne du désert,
    mais ne portez pas la main sur lui. »
    Il voulait le sauver de leurs mains
    et le ramener à son père.

    Dès que Joseph eut rejoint ses frères,
    ils le dépouillèrent de sa tunique,
    la tunique de grand prix qu’il portait,
    ils se saisirent de lui et le jetèrent dans la citerne,
    qui était vide et sans eau.
    Ils s’assirent ensuite pour manger.
    En levant les yeux, ils virent une caravane d’Ismaélites
    qui venait de Galaad.
    Leurs chameaux étaient chargés d’aromates,
    de baume et de myrrhe
    qu’ils allaient livrer en Égypte.
    Alors Juda dit à ses frères :
    « Quel profit aurions-nous à tuer notre frère
    et à dissimuler sa mort ?
    Vendons-le plutôt aux Ismaélites
    et ne portons pas la main sur lui,
    car il est notre frère,
    notre propre chair. »
    Ses frères l’écoutèrent.
    Des marchands madianites qui passaient par là
    retirèrent Joseph de la citerne,
    ils le vendirent pour vingt pièces d’argent aux Ismaélites,
    et ceux-ci l’emmenèrent en Égypte.

    – Parole du Seigneur.

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