Bonnenouvelle.fr Agence web WordPress
https://bonnenouvelle.fr/@AELF@.html?debut_articles=190

Accueil   Le blog   invisible   Actualités de sites catholiques   Lectures de la messe du jour

Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

http://aelf.org/

Articles

  • Deuxième lecture : « Espérant contre toute espérance, il a cru » (Rm 4, 13.16-18.22)

    19 mars

    Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains

    Frères,
        ce n’est pas en vertu de la Loi
    que la promesse de recevoir le monde en héritage
    a été faite à Abraham et à sa descendance,
    mais en vertu de la justice obtenue par la foi.
        Voilà pourquoi on devient héritier par la foi :
    c’est une grâce,
    et la promesse demeure ferme
    pour tous les descendants d’Abraham,
    non pour ceux qui se rattachent à la Loi seulement,
    mais pour ceux qui se rattachent aussi à la foi d’Abraham,
    lui qui est notre père à tous.
        C’est bien ce qui est écrit :
    J’ai fait de toi le père d’un grand nombre de nations.
    Il est notre père devant Dieu en qui il a cru,
    Dieu qui donne la vie aux morts
    et qui appelle à l’existence ce qui n’existe pas.
        Espérant contre toute espérance, il a cru ;
    ainsi est-il devenu le père d’un grand nombre de nations,
    selon cette parole :
    Telle sera la descendance que tu auras !
        Et voilà pourquoi
    il lui fut accordé d’être juste.

        – Parole du Seigneur.

  • Évangile : « Joseph fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit » (Mt 1, 16.18-21.24a)

    19 mars

    Acclamation : (Ps 83 (84), 5)

    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
    Heureux les habitants de ta maison, Seigneur :
    ils pourront te chanter encore !
    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

        Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie,
    de laquelle fut engendré Jésus,
    que l’on appelle Christ.

        Or, voici comment fut engendré Jésus Christ :
    Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ;
    avant qu’ils aient habité ensemble,
    elle fut enceinte
    par l’action de l’Esprit Saint.
        Joseph, son époux, qui était un homme juste,
    et ne voulait pas la dénoncer publiquement,
    décida de la renvoyer en secret.
        Comme il avait formé ce projet,
    voici que l’ange du Seigneur
    lui apparut en songe et lui dit :
    « Joseph, fils de David,
    ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse,
    puisque l’enfant qui est engendré en elle
    vient de l’Esprit Saint ;
        elle enfantera un fils,
    et tu lui donneras le nom de Jésus
    (c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve),
    car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »

        Quand Joseph se réveilla,
    il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit.

        – Acclamons la Parole de Dieu.


    OU BIEN

     

  • Évangile : « Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! » (Lc 2, 41-51a)

    19 mars

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem
    pour la fête de la Pâque.
              Quand il eut douze ans,
    ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume.
              À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient,
    le jeune Jésus resta à Jérusalem
    à l’insu de ses parents.
              Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins,
    ils firent une journée de chemin
    avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances.
              Ne le trouvant pas,
    ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher.

              C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple,
    assis au milieu des docteurs de la Loi :
    il les écoutait et leur posait des questions,
              et tous ceux qui l’entendaient
    s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses.
              En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement,
    et sa mère lui dit :
    « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ?
    Vois comme ton père et moi,
    nous avons souffert en te cherchant ! »
              Il leur dit :
    « Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ?
    Ne saviez-vous pas
    qu’il me faut être chez mon Père ? »
              Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait.
              Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth,
    et il leur était soumis.

              – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout cela » (Dn 13, 41c-62 (lecture brève))

    18 mars

    Lecture du livre du prophète Daniel

    En ces jours-là,
    le peuple venait de condamner à mort Suzanne.
    Alors elle cria d’une voix forte :
    « Dieu éternel,
    toi qui pénètres les secrets,
    toi qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent,
    tu sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage.
    Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait
    de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »

    Le Seigneur entendit sa voix.
    Comme on la conduisait à la mort,
    Dieu éveilla l’esprit de sainteté
    chez un tout jeune garçon nommé Daniel,
    qui se mit à crier d’une voix forte :
    « Je suis innocent
    de la mort de cette femme ! »
    Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda :
    « Que signifie cette parole que tu as prononcée ? »
    Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit :
    « Fils d’Israël, vous êtes donc fous ?
    Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité,
    vous avez condamné une fille d’Israël.
    Revenez au tribunal,
    car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »

    Tout le peuple revint donc en hâte,
    et le collège des anciens dit à Daniel :
    « Viens siéger au milieu de nous
    et donne-nous des explications,
    car Dieu a déjà fait de toi un ancien. »
    Et Daniel leur dit :
    « Séparez-les bien l’un de l’autre,
    je vais les interroger. »
    Quand on les eut séparés,
    Daniel appela le premier et lui dit :
    « Toi qui as vieilli dans le mal,
    tu portes maintenant le poids des péchés
    que tu as commis autrefois
    en jugeant injustement :
    tu condamnais les innocents
    et tu acquittais les coupables,
    alors que le Seigneur a dit :
    “Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.”
    Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme,
    dis-nous sous quel arbre
    tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
    Il répondit :
    « Sous un sycomore. »
    Daniel dit :
    « Voilà justement un mensonge qui te condamne :
    l’ange de Dieu a reçu un ordre de Dieu,
    et il va te mettre à mort. »
    Daniel le renvoya, fit amener l’autre
    et lui dit :
    « Tu es de la race de Canaan et non de Juda !
    La beauté t’a dévoyé
    et le désir a perverti ton cœur.
    C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël,
    et, par crainte, elles se donnaient à vous.
    Mais une fille de Juda
    n’a pu consentir à votre crime.
    Dis-moi donc sous quel arbre
    tu les as vus se donner l’un à l’autre ? »
    Il répondit :
    « Sous un châtaignier. »
    Daniel lui dit :
    « Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne :
    l’ange de Dieu attend, l’épée à la main,
    pour te châtier,
    et vous faire exterminer. »

    Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur
    et bénit Dieu qui sauve ceux qui espèrent en lui.
    Puis elle se retourna contre les deux anciens
    que Daniel avait convaincus de faux témoignage
    par leur propre bouche.
    Conformément à la loi de Moïse,
    on leur fit subir la peine
    que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain :
    on les mit à mort.
    Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (22 (23), 1-2ab, 2c-3, 4, 5, 6)

    18 mars

    Refrain psalmique : (cf. 22, 4)

    Si je traverse les ravins de la mort,
    je ne crains aucun mal,
    car tu es avec moi, Seigneur.

    Le Seigneur est mon berger :
    je ne manque de rien.
    Sur des prés d’herbe fraîche,
    il me fait reposer.

    Il me mène vers les eaux tranquilles
    et me fait revivre ;
    il me conduit par le juste chemin
    pour l’honneur de son nom.

    Si je traverse les ravins de la mort,
    je ne crains aucun mal,
    car tu es avec moi :
    ton bâton me guide et me rassure.

    Tu prépares la table pour moi
    devant mes ennemis ;
    tu répands le parfum sur ma tête,
    ma coupe est débordante.

    Grâce et bonheur m’accompagnent
    tous les jours de ma vie ;
    j’habiterai la maison du Seigneur
    pour la durée de mes jours.

Le blog

 
Bonnenouvelle.fr site de paroisse, communauté, école