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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Le Samedi saint, l'Église demeure auprès du tombeau dans le silence

    30 mars
  • Pour la veillée pascale, voir au Dimanche de Pâques

    30 mars
  • Première lecture : « C’est à cause de nos fautes qu’il a été broyé » (Is 52, 13 – 53, 12)

    29 mars

    Lecture du livre du prophète Isaïe

    Mon serviteur réussira, dit le Seigneur ;
    il montera, il s’élèvera, il sera exalté !
    La multitude avait été consternée en le voyant,
    car il était si défiguré
    qu’il ne ressemblait plus à un homme ;
    il n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme.
    Il étonnera de même une multitude de nations ;
    devant lui les rois resteront bouche bée,
    car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit,
    ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler.

    Qui aurait cru ce que nous avons entendu ?
    Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ?
    Devant lui, le serviteur a poussé comme une plante chétive,
    une racine dans une terre aride ;
    il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards,
    son aspect n’avait rien pour nous plaire.
    Méprisé, abandonné des hommes,
    homme de douleurs, familier de la souffrance,
    il était pareil à celui devant qui on se voile la face ;
    et nous l’avons méprisé, compté pour rien.
    En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait,
    nos douleurs dont il était chargé.
    Et nous, nous pensions qu’il était frappé,
    meurtri par Dieu, humilié.
    Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé,
    à cause de nos fautes qu’il a été broyé.
    Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui :
    par ses blessures, nous sommes guéris.
    Nous étions tous errants comme des brebis,
    chacun suivait son propre chemin.
    Mais le Seigneur a fait retomber sur lui
    nos fautes à nous tous.

    Maltraité, il s’humilie,
    il n’ouvre pas la bouche :
    comme un agneau conduit à l’abattoir,
    comme une brebis muette devant les tondeurs,
    il n’ouvre pas la bouche.
    Arrêté, puis jugé, il a été supprimé.
    Qui donc s’est inquiété de son sort ?
    Il a été retranché de la terre des vivants,
    frappé à mort pour les révoltes de son peuple.
    On a placé sa tombe avec les méchants,
    son tombeau avec les riches ;
    et pourtant il n’avait pas commis de violence,
    on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche.
    Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur.
    S’il remet sa vie en sacrifice de réparation,
    il verra une descendance, il prolongera ses jours :
    par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira.

    Par suite de ses tourments, il verra la lumière,
    la connaissance le comblera.
    Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes,
    il se chargera de leurs fautes.
    C’est pourquoi, parmi les grands, je lui donnerai sa part,
    avec les puissants il partagera le butin,
    car il s’est dépouillé lui-même
    jusqu’à la mort,
    et il a été compté avec les pécheurs,
    alors qu’il portait le péché des multitudes
    et qu’il intercédait pour les pécheurs.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (30 (31), 2ab.6, 12, 13-14ad, 15-16, 17.25)

    29 mars

    Refrain psalmique : (cf. Lc 23, 46)

    Ô Père, en tes mains
    je remets mon esprit.

    En toi, Seigneur, j’ai mon refuge ;
    garde-moi d’être humilié pour toujours.
    En tes mains je remets mon esprit ;
    tu me rachètes, Seigneur, Dieu de vérité.

    Je suis la risée de mes adversaires
    et même de mes voisins ;
    je fais peur à mes amis,
    s’ils me voient dans la rue, ils me fuient.

    On m’ignore comme un mort oublié,
    comme une chose qu’on jette.
    J’entends les calomnies de la foule :
    ils s’accordent pour m’ôter la vie.

    Moi, je suis sûr de toi, Seigneur,
    je dis : « Tu es mon Dieu ! »
    Mes jours sont dans ta main : délivre-moi
    des mains hostiles qui s’acharnent.

    Sur ton serviteur, que s’illumine ta face ;
    sauve-moi par ton amour.
    Soyez forts, prenez courage,
    vous tous qui espérez le Seigneur !

  • Deuxième lecture : Il apprit l’obéissance et il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du salut éternel (He 4, 14-16 ; 5, 7-9)

    29 mars

    Lecture de la lettre aux Hébreux

    Frères,
    en Jésus, le Fils de Dieu,
    nous avons le grand prêtre par excellence,
    celui qui a traversé les cieux ;
    tenons donc ferme l’affirmation de notre foi.
    En effet, nous n’avons pas un grand prêtre
    incapable de compatir à nos faiblesses,
    mais un grand prêtre éprouvé en toutes choses,
    à notre ressemblance, excepté le péché.
    Avançons-nous donc avec assurance
    vers le Trône de la grâce,
    pour obtenir miséricorde
    et recevoir, en temps voulu, la grâce de son secours.

    Le Christ,
    pendant les jours de sa vie dans la chair,
    offrit, avec un grand cri et dans les larmes,
    des prières et des supplications
    à Dieu qui pouvait le sauver de la mort,
    et il fut exaucé
    en raison de son grand respect.
    Bien qu’il soit le Fils,
    il apprit par ses souffrances l’obéissance
    et, conduit à sa perfection,
    il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent
    la cause du salut éternel.

    – Parole du Seigneur.

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