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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Première lecture : « Renonce au mal que tu veux faire à ton peuple » (Ex 32, 7-14)

    14 mars

    Lecture du livre de l’Exode

    En ces jours-là,
        le Seigneur parla à Moïse :
    « Va, descends,
    car ton peuple s’est corrompu,
    lui que tu as fait monter du pays d’Égypte.
        Ils n’auront pas mis longtemps
    à s’écarter du chemin que je leur avais ordonné de suivre !
    Ils se sont fait un veau en métal fondu
    et se sont prosternés devant lui.
    Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant :
    “Israël, voici tes dieux,
    qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »

        Le Seigneur dit encore à Moïse :
    « Je vois que ce peuple
    est un peuple à la nuque raide.
        Maintenant, laisse-moi faire ;
    ma colère va s’enflammer contre eux
    et je vais les exterminer !
    Mais, de toi, je ferai une grande nation. »

        Moïse apaisa le visage du Seigneur son Dieu
    en disant :
    « Pourquoi, Seigneur, ta colère
    s’enflammerait-elle contre ton peuple,
    que tu as fait sortir du pays d’Égypte
    par ta grande force et ta main puissante ?
        Pourquoi donner aux Égyptiens l’occasion de dire :
    “C’est par méchanceté qu’il les a fait sortir ;
    il voulait les tuer dans les montagnes
    et les exterminer à la surface de la terre” ?
    Reviens de l’ardeur de ta colère,
    renonce au mal que tu veux faire à ton peuple.
        Souviens-toi de tes serviteurs,
    Abraham, Isaac et Israël,
    à qui tu as juré par toi-même :
    “Je multiplierai votre descendance
    comme les étoiles du ciel ;
    je donnerai, comme je l’ai dit,
    tout ce pays à vos descendants,
    et il sera pour toujours leur héritage.” »

        Le Seigneur renonça au mal
    qu’il avait voulu faire à son peuple.

                – Parole du Seigneur.

  • Psaume (Ps 105 (106), 4ab.6, 19-20, 21-22, 23)

    14 mars

    Refrain psalmique : (cf. Ps 105, 4)

    Souviens-toi de nous, Seigneur,
    dans ta bienveillance pour ton peuple.

    Souviens-toi de moi, Seigneur,
    dans ta bienveillance pour ton peuple.
    Avec nos pères, nous avons péché,
    nous avons failli et renié.

    À l’Horeb ils fabriquent un veau,
    ils adorent un objet en métal :
    ils échangeaient ce qui était leur gloire
    pour l’image d’un taureau, d’un ruminant.

    Ils oublient le Dieu qui les sauve,
    qui a fait des prodiges en Égypte,
    des miracles au pays de Cham,
    des actions terrifiantes sur la mer Rouge.

    Dieu a décidé de les détruire.
    C’est alors que Moïse, son élu,
    surgit sur la brèche, devant lui,
    pour empêcher que sa fureur les extermine.

  • Évangile : « Votre accusateur, c’est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance » (Jn 5, 31-47)

    14 mars

    Acclamation : (Jn 3, 16)

    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Dieu a tellement aimé le monde
    qu’il a donné son Fils unique,
    afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle.
    Louange à toi, Seigneur,
    Roi d’éternelle gloire !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    Jésus disait aux Juifs :
        « Si c’est moi qui me rends témoignage,
    mon témoignage n’est pas vrai ;
        c’est un autre qui me rend témoignage,
    et je sais que le témoignage qu’il me rend est vrai.
        Vous avez envoyé une délégation auprès de Jean le Baptiste,
    et il a rendu témoignage à la vérité.
        Moi, ce n’est pas d’un homme que je reçois le témoignage,
    mais je parle ainsi pour que vous soyez sauvés.
        Jean était la lampe qui brûle et qui brille,
    et vous avez voulu vous réjouir un moment à sa lumière.
        Mais j’ai pour moi un témoignage plus grand que celui de Jean :
    ce sont les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir ;
    les œuvres mêmes que je fais
    témoignent que le Père m’a envoyé.
        Et le Père qui m’a envoyé,
    lui, m’a rendu témoignage.
    Vous n’avez jamais entendu sa voix,
    vous n’avez jamais vu sa face,
        et vous ne laissez pas sa parole demeurer en vous,
    puisque vous ne croyez pas en celui que le Père a envoyé.
        Vous scrutez les Écritures
    parce que vous pensez y trouver la vie éternelle ;
    or, ce sont les Écritures qui me rendent témoignage,
        et vous ne voulez pas venir à moi
    pour avoir la vie !
        La gloire, je ne la reçois pas des hommes ;
        d’ailleurs je vous connais :
    vous n’avez pas en vous l’amour de Dieu.
        Moi, je suis venu au nom de mon Père,
    et vous ne me recevez pas ;
    qu’un autre vienne en son propre nom,
    celui-là, vous le recevrez !
        Comment pourriez-vous croire,
    vous qui recevez votre gloire les uns des autres,
    et qui ne cherchez pas la gloire qui vient du Dieu unique ?
        Ne pensez pas que c’est moi
    qui vous accuserai devant le Père.
    Votre accusateur, c’est Moïse,
    en qui vous avez mis votre espérance.
        Si vous croyiez Moïse,
    vous me croiriez aussi,
    car c’est à mon sujet qu’il a écrit.
        Mais si vous ne croyez pas ses écrits,
    comment croirez-vous mes paroles ? »

                – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « Je t’ai établi, pour que tu sois l’alliance du peuple, pour relever le pays » (Is 49, 8-15)

    13 mars

    Lecture du livre du prophète Isaïe

    Ainsi parle le Seigneur :
    Au temps favorable, je t’ai exaucé,
    au jour du salut, je t’ai secouru.
    Je t’ai façonné, établi,
    pour que tu sois l’alliance du peuple,
    pour relever le pays,
    restituer les héritages dévastés
    et dire aux prisonniers : « Sortez » !
    aux captifs des ténèbres : « Montrez-vous » !
    Au long des routes, ils pourront paître ;
    sur les hauteurs dénudées seront leurs pâturages.
    Ils n’auront ni faim ni soif ;
    le vent brûlant et le soleil ne les frapperont plus.
    Lui, plein de compassion, les guidera,
    les conduira vers les eaux vives.
    De toutes mes montagnes, je ferai un chemin,
    et ma route sera rehaussée.

    Les voici : ils viennent de loin,
    les uns du nord et du couchant,
    les autres des terres du sud.
    Cieux, criez de joie ! Terre, exulte !
    Montagnes, éclatez en cris de joie !
    Car le Seigneur console son peuple ;
    de ses pauvres, il a compassion.

    Jérusalem disait :
    « Le Seigneur m’a abandonnée,
    mon Seigneur m’a oubliée. »
    Une femme peut-elle oublier son nourrisson,
    ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ?
    Même si elle l’oubliait,
    moi, je ne t’oublierai pas.

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (144 (145), 8-9, 13cd-14, 17-18)

    13 mars

    Refrain psalmique : (144, 8)

    Le Seigneur est tendresse et pitié,
    lent à la colère et plein d’amour.

    Le Seigneur est tendresse et pitié,
    lent à la colère et plein d’amour ;
    la bonté du Seigneur est pour tous,
    sa tendresse, pour toutes ses œuvres.

    Le Seigneur est vrai en tout ce qu’il dit,
    fidèle en tout ce qu’il fait.
    Le Seigneur soutient tous ceux qui tombent,
    il redresse tous les accablés.

    Le Seigneur est juste en toutes ses voies,
    fidèle en tout ce qu’il fait.
    Il est proche de ceux qui l’invoquent,
    de tous ceux qui l’invoquent en vérité.

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