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Lectures de la messe du jour

(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2015

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Articles

  • Évangile : « Comme le Père relève les morts et les fait vivre, ainsi le Fils fait vivre qui il veut » (Jn 5, 17-30)

    13 mars

    Acclamation : (cf. Jn 11, 25a.26)

    Gloire à toi, Seigneur,
    honneur, puissance et majesté !

    Moi, je suis la résurrection et la vie,
    dit le Seigneur.
    Celui qui croit en moi ne mourra jamais.
    Gloire à toi, Seigneur,
    honneur, puissance et majesté !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    après avoir guéri le paralysé un jour de sabbat,
    Jésus déclara aux Juifs :
    « Mon Père est toujours à l’œuvre,
    et moi aussi, je suis à l’œuvre. »
    C’est pourquoi, de plus en plus,
    les Juifs cherchaient à le tuer,
    car non seulement il ne respectait pas le sabbat,
    mais encore il disait que Dieu était son propre Père,
    et il se faisait ainsi l’égal de Dieu.

    Jésus reprit donc la parole. Il leur déclarait :
    « Amen, amen, je vous le dis :
    le Fils ne peut rien faire de lui-même,
    il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ;
    ce que fait celui-ci,
    le Fils le fait pareillement.
    Car le Père aime le Fils
    et lui montre tout ce qu’il fait.
    Il lui montrera des œuvres plus grandes encore,
    si bien que vous serez dans l’étonnement.
    Comme le Père, en effet, relève les morts
    et les fait vivre,
    ainsi le Fils, lui aussi, fait vivre qui il veut.
    Car le Père ne juge personne :
    il a donné au Fils tout pouvoir pour juger,
    afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père.
    Celui qui ne rend pas honneur au Fils
    ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé.
    Amen, amen, je vous le dis :
    qui écoute ma parole
    et croit en Celui qui m’a envoyé,
    obtient la vie éternelle
    et il échappe au jugement,
    car déjà il passe de la mort à la vie.

    Amen, amen, je vous le dis :
    l’heure vient – et c’est maintenant –
    où les morts entendront la voix du Fils de Dieu,
    et ceux qui l’auront entendue vivront.
    Comme le Père, en effet, a la vie en lui-même,
    ainsi a-t-il donné au Fils d’avoir, lui aussi, la vie en lui-même ;
    et il lui a donné pouvoir d’exercer le jugement,
    parce qu’il est le Fils de l’homme.
    Ne soyez pas étonnés ;
    l’heure vient
    où tous ceux qui sont dans les tombeaux
    entendront sa voix ;
    alors, ceux qui ont fait le bien sortiront
    pour ressusciter et vivre,
    ceux qui ont fait le mal,
    pour ressusciter et être jugés.

    Moi, je ne peux rien faire de moi-même ;
    je rends mon jugement d’après ce que j’entends,
    et mon jugement est juste,
    parce que je ne cherche pas à faire ma volonté,
    mais la volonté de Celui qui m’a envoyé. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : J’ai vu l’eau qui jaillissait du Temple : tous ceux qu’elle touchait furent sauvés (Ez 47, 1-9.12)

    12 mars

    Lecture du livre du prophète Ézékiel

    En ces jours-là,
    au cours d’une vision reçue du Seigneur,
    l’homme me fit revenir à l’entrée de la Maison,
    et voici : sous le seuil de la Maison,
    de l’eau jaillissait vers l’orient,
    puisque la façade de la Maison était du côté de l’orient.

    L’eau descendait de dessous le côté droit de la Maison,
    au sud de l’autel.
    L’homme me fit sortir par la porte du nord
    et me fit faire le tour par l’extérieur,
    jusqu’à la porte qui fait face à l’orient,
    et là encore l’eau coulait du côté droit.
    L’homme s’éloigna vers l’orient,
    un cordeau à la main,
    et il mesura une distance de mille coudées ;
    alors il me fit traverser l’eau :
    j’en avais jusqu’aux chevilles.
    Il mesura encore mille coudées
    et me fit traverser l’eau :
    j’en avais jusqu’aux genoux.
    Il mesura encore mille coudées et me fit traverser :
    j’en avais jusqu’aux reins.
    Il en mesura encore mille :
    c’était un torrent que je ne pouvais traverser ;
    l’eau avait grossi, il aurait fallu nager :
    c’était un torrent infranchissable.
    Alors il me dit :
    « As-tu vu, fils d’homme ? »
    Puis il me ramena au bord du torrent.
    Quand il m’eut ramené, voici qu’il y avait au bord du torrent,
    de chaque côté, des arbres en grand nombre.

    Il me dit :
    « Cette eau coule vers la région de l’orient,
    elle descend dans la vallée du Jourdain,
    et se déverse dans la mer Morte,
    dont elle assainit les eaux.
    En tout lieu où parviendra le torrent,
    tous les animaux pourront vivre et foisonner.
    Le poisson sera très abondant,
    car cette eau assainit tout ce qu’elle pénètre,
    et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent.
    Au bord du torrent, sur les deux rives,
    toutes sortes d’arbres fruitiers pousseront ;
    leur feuillage ne se flétrira pas
    et leurs fruits ne manqueront pas.
    Chaque mois ils porteront des fruits nouveaux,
    car cette eau vient du sanctuaire.
    Les fruits seront une nourriture,
    et les feuilles un remède. »

    – Parole du Seigneur.

  • Psaume (45 (46), 2-3, 5-6, 8-9a.10a)

    12 mars

    Refrain psalmique : (45, 8)

    Il est avec nous, le Dieu de l’univers ;
    citadelle pour nous, le Dieu de Jacob !

    Dieu est pour nous refuge et force,
    secours dans la détresse, toujours offert.
    Nous serons sans crainte si la terre est secouée,
    si les montagnes s’effondrent au creux de la mer.

    Le Fleuve, ses bras réjouissent la ville de Dieu,
    la plus sainte des demeures du Très-Haut.
    Dieu s’y tient : elle est inébranlable ;
    quand renaît le matin, Dieu la secourt.

    Il est avec nous, le Seigneur de l’univers ;
    citadelle pour nous, le Dieu de Jacob !
    Venez et voyez les actes du Seigneur,
    il détruit la guerre jusqu’au bout du monde.

  • Évangile : « Aussitôt l’homme fut guéri » (Jn 5, 1-16)

    12 mars

    Acclamation : (Ps 50, 12a.14a)

    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus !
    Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu ;
    rends- moi la joie d’être sauvé.
    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    À l’occasion d’une fête juive,
    Jésus monta à Jérusalem.
    Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis,
    il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha.
    Elle a cinq colonnades,
    sous lesquelles étaient couchés une foule de malades,
    aveugles, boiteux et impotents.
    Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
    Jésus, le voyant couché là,
    et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps,
    lui dit :
    « Veux-tu être guéri ? »
    Le malade lui répondit :
    « Seigneur, je n’ai personne
    pour me plonger dans la piscine
    au moment où l’eau bouillonne ;
    et pendant que j’y vais,
    un autre descend avant moi. »
    Jésus lui dit :
    « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
    Et aussitôt l’homme fut guéri.
    Il prit son brancard : il marchait !
    Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
    Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pied :
    « C’est le sabbat !
    Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
    Il leur répliqua :
    « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit :
    “Prends ton brancard, et marche !” »
    Ils l’interrogèrent :
    « Quel est l’homme qui t’a dit :
    “Prends ton brancard, et marche” ? »
    Mais celui qui avait été rétabli
    ne savait pas qui c’était ;
    en effet, Jésus s’était éloigné,
    car il y avait foule à cet endroit.

    Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit :
    « Te voilà guéri.
    Ne pèche plus,
    il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
    L’homme partit annoncer aux Juifs
    que c’était Jésus qui l’avait guéri.
    Et ceux-ci persécutaient Jésus
    parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

  • Première lecture : « On n’y entendra plus de pleurs ni de cris » (Is 65, 17-21)

    11 mars

    Lecture du livre du prophète Isaïe

    Ainsi parle le Seigneur :
    Oui, voici : je vais créer
    un ciel nouveau et une terre nouvelle,
    on ne se souviendra plus du passé,
    il ne reviendra plus à l’esprit.
    Soyez plutôt dans la joie, exultez sans fin
    pour ce que je crée.
    Car je vais recréer Jérusalem,
    pour qu’elle soit exultation,
    et que son peuple devienne joie.
    J’exulterai en Jérusalem,
    je trouverai ma joie dans mon peuple.
    On n’y entendra plus de pleurs ni de cris.
    Là, plus de nourrisson emporté en quelques jours,
    ni d’homme qui ne parvienne au bout de sa vieillesse ;
    le plus jeune mourra centenaire,
    ne pas atteindre cent ans sera malédiction.
    On bâtira des maisons, on y habitera ;
    on plantera des vignes, on mangera leurs fruits.

    – Parole du Seigneur.

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